Laissez vous tenter par le libertinage !

Pour les initiés, vous retrouverez notre pseudo verbintime sur nouslibertins, netechangisme. Attention, pas toujours abonnés... Un message ici est plus sûr. Bises coquines !

lundi 5 septembre 2016

Ce soir là nous avons avions décidé de coquiner

Le feeling passe dès le dialogue en « chat » sur « netech ». Ils doivent rappeler une fin d’après midi pour confirmer leur disponibilité. Le temps passe, rien… Un lapin ? Étonnant la première impression était bonne.

Je retourne sur l’ordi, contacte un autre couple, bonne impression aussi. On se téléphone. C’est décidé, ils viennent à la maison en soirée. Je raccroche.

Dans la foulée le premier couple rappelle : « un contre temps, impossible de rappeler plus tôt ». Je leur explique la situation et propose une double invitation. Je recontacte le second couple. Ils sont ok aussi.


Une très jolie soirée. Les invitées se dégustent joliment. Chacun joue avec chacune. A tour de rôle, les couples se recomposent et s’isolent dans une chambre…

C'était notre première soirée multi-couple à la maison !

Trios au pays de cocagne.

Jusque là nous n’avions bavardé, partagé que le désert et quelque bulles. Une belle ambiance autour de la table qui nous rassure immédiatement. Nos hôtes, Marina et Pierre, et les autres invités, Bernard et Annie, s’était déjà rencontrés.

On nous dirige vers le coin câlin. Ma chérie se retrouve rapidement entreprise sur le lit par les deux hommes. Les petits bruits qui s’échappent me réjouissent sur la belle intimité qui se dégage du trio. Pierre et Bernard méritent le titre de membres bienfaiteurs.

De mon coté, Marina et Annie se sont déshabillées. Elles restent debout. Elle s’enlacent et s’embrasse goulûment. Je me joins au trio. Les langues jouent à l’unissons. De longs baisers sur les seins. Annie à le téton sensible, turgescent, dans l’instant. Marina me semble encore plus girl friendly. Elle a besoin un vrai besoin de sucer. J’ai droit au même prodigalité mammaire, donner bien sûr mais aussi recevoir.

Nos six mains descendent le long des entrejambes qui s’écartent généreusement. Nos doigts se croisent, ici sur un clitoris, là à l’orée d’un vagin. L’une me soutient les testicules pendant que l’autre joue avec le fourreau de ma verge. Marina descend le long du corps d’Annie. Sa bouche a faim... une faim de vulve. Je soutiens Annie sous les aisselles, mes mains sur les seins jouant avec ses tétons entre pouces et index. Ma verge bat dans son dos et passe entre les jambes d’Annie. Marina suce ce drôle de clitoris ! Rapidement des couples forment... changent de partenaires.

Nos chéries nous offrirons de très jolies envolées lyriques. Il n’y a pas de mots, nous garderons pour nous, les sommets atteints par Annie. Pierre l’a propulsée tout en haut du mat de cocagne pour y décrocher des merveilles.

lundi 9 mai 2016

Le plaisir d’une rencontre en club

Nous croisons sur la piste de danse. Sans être appuyé son regard soutient doucement le mien. De son haut plus qu’ouvert surgissent deux magnifiques tétons. Après les danses, le hasard nous place à la même table. Nous échangeons regards sucrés et douces paroles.

Nous nous retrouvons au jacuzzi… Rapprochement des couples, douces caresses, ses jambes sont lisses. Je lui masse la nuque, elle se détend. Sa tête bascule en arrière. Joli lâcher prise. J’investis son entre jambe. Son souffle s’accélère au creux de mon oreille. Elle ouvre les cuisses je caresse sa petite perle longuement. Ses vocalises sont à peine couvertes par le bruit des bulles… Elle jouit longuement en m’offrant son regard troublé par le plaisir.

Direction les coins câlins : Je suis rassuré, Monsieur est très doux avec mon épouse tandis que ma Cavalière s’offre à ma dégustation. Ma langue lui prodigue de multiples orgasmes… Elle glisse, grimpe les montagnes russes du plaisir. J’imagine son regard, celui qu’elle m’a offert dans le jacuzzi. Elle chavire joliment à l’unisson de ma chérie…


Merci pour cette très douce et belle soirée en club, douce comme une chanson ou presque (clin d'oeil) :
"C'est une maison (douce) accrochée à ma mémoire...
... De grands lits et de musique, peuplée de lumière, et peuplée de fous"

mardi 8 décembre 2015

Un dimanche soir en apothéose

Le courant passe de suite. Quelques bulles et l’ambiance devient très joyeuse, intime, comme une évidence. Ted emportera ma Dame vers les plus hautes vocalises par les chemins bucoliques de la douceur et de la courtoisie. Elle est heureuse, elle reçoit tout les compliments de la création sur son physique : une femme qui fait l’amour est belle. Mélangisme ? Non ! Mieux que ça, un savant cocktail !

De son coté, électrisée par le feu de la cheminée, Mutine escalade très vite les voies du plaisirs par la face nord, son énergie est infinie. Avec elle l’alchimie prend très vite. Elle aime recevoir et donner. Je relève ses cheveux auburn alors qu'elle suce divinement. Je pince ses tétons avec rudesse, elle adore ! Son sexe humide complexe demande à ma langue un long traitement de choc. Elle s’offre en levrette avec le plus grand naturel. Après la pose "bulles" je lui fais l’amour en la regardant ses yeux bleus. Comme un besoin irrépressible, elle éructe son plaisir par des mots crus. Je recueille son regard, le regard troublant d’une femme qui se donne, qui offre son plaisir pour son propre plaisir à son partenaire.

vendredi 31 juillet 2015

Julie et Jim

Lui distingué, tenue d’été, elle élégante, petite robe de satin. Ici je donne à chacun un nom d’artiste… Julie et Jim. Au premier abord, un nom d’artiste en désir… qui se muera avec l’avancement de la soirée en artiste ès plaisir… intenses.

Je leur indique le chemin vers la piscine et suit la petite robe de satin qui ondule, ondule… Nous resterons sages pendant le repas, au vu et au su de tout le voisinage… Les regards se croisent et le désir monte. La liberté va bien aux seins de Julie… De vrais seins de femme, un peu lourd, généreux. Après une salade de fruit rafraichissante, nous reportons le bain à plus tard.

Direction l’intérieur. Que choisir le salon ou la chambre ? Une valse hésitation dans le hall où l’on jauge le regard de l’autre, Je propose la chambre. Lumière tamisée, caresses sages, chacun avec la chacune de l’autre… Premiers baisers, langoureux, pas ces petits frétillements de la pointe de la langue qu’adoptent de nombreux libertins. Des baisers profonds, appuyés, lents mouillés qui présagent d’autres dégustations. Les tétons durcissent sous la succion, les cuisses s’écartent sous d’intimes caresses. Clitoris et verges deviennent turgescents et les minous détrempés.

Honneur au dames, elles se laissent volontiers lécher, aspirer, fouiller… La source de Julie est abondante. Nous nous embrassons à nouveau… Elle s’allonge sur moi et m’ordonne « branle moi ! » Je m’exécute. Un puis deux, elle en redemande, trois enfin quatre doigts dans son vagin… « Branle moi ». Je m’applique sur la face interne de son vagin. Un chaud, abondant liquide coule sur ma cuisse. Elle jouit, hurle comme une louve.

Ma chérie jouit intensément dans les bras de Jim. J’aime l’entendre, ne pas savoir ce qu’il font, seulement profiter de ses vocalises… la savoir libre du choix des armes du plaisir avec cet homme, libre de s’aventurer sur des contrées, où elle n’ose m’inviter…

Julie et moi choisissons ce moment pour nous déguster mutuellement. Elle a besoin de ma verge tout autant que j’ai besoin de sa vulve. Mes doigts s’aventurent. Elle répond à mon approche discrète en positionnant son oeillet sur mon index. Je commence une exploration. Elle acquiesce en accélérant sa succion.

Le moment de nous donner l’un à l’autre est venu. Lentement, elle me reçoit très intimement, je la regarde et l’invite à garder un moment les yeux ouverts, son regard se trouble. Nous nous embrassons longuement. Puis le mot magique vient… « levrette ». Notre humanité retrouve ses racines animale. Dans un instant elle sera ma femelle. Elle se met à genou, plante son visage dans l’oreiller, creuse les reins. Je lâche « tu es superbe ainsi ! » Elle me réplique « je sais ce qu’aime les hommes… »

Je la prends longuement, mes bourses battent la chamade contre son clitoris. De mes deux mains, j’écarte ses hémisphères charnues, joint mes pouces. Il viennent en appui sur sa petite porte. Elle casse les reins, je la pénètre, me couche sur elle, lui susurre à l’oreille : « tu as envie ? » Comme une évidence elle me souffle « j’adore ». Ma verge, encore mouillée des émois de Julie la pénètre doucement l’huis fripé de Julie. Elle aime, jouit longuement. Nous avons chaud et soif.

Je propose un bain de minuit dans l’obscurité. Les corps brulants se délassent, de touchent un peu dans l’eau. L’eau pétillante rafraichit les gosiers… La fraicheur nous gagne, nous retrouvons notre couche commune.

La rencontre change de nature. Jim sollicite une fellation de nos compagnes. Elle rivalisent d’attention pour son membre. Vient mon tour, le bonheur d’être ainsi honoré. Chacun revient longuement aux plaisirs de la première « mi-temps ». Julie m’invite à nouveau au coeur de sa rosace, Jim désire sa vulve. Il pénètre un peu vite et m’éjecte sous la contraction de Julie. Nous rions.


Nous dépassons les quatre heures de plaisir les corps sont fatigués. Afin de prendre congé je reprends Julie en levrette. Elle accepte ma jouissance. Jim offre la sienne sur la poitrine de ma chérie. Chacun se rhabille, je raccompagne sur le parking. La petite robe de satin de Julie ondule, ondule…

dimanche 21 juin 2015

Un tout petit baiser candauliste

Samedi dernier nous avons pris rendez-vous pour diner au Cap avec un couple échangiste. Nous avons laissé notre voiture à la barrière du péage. Au restaurant, nous étions entre une dame aux seins nus et un homme qui grignotait sa complice ou compagne.

Au cours du diner nous avons très vite compris que se développait un feeling entre Livia, mon épouse, et William notre compère. Son épouse, n’avait pas envie de sortir ? Peut-être n’étais-je pas pas son style ou son fantasme du jour ? Nous sommes allés danser dans un bar. Deux dames soutenues par leurs hommes se caressaient. L’une jouit plusieurs fois. Pas de quoi émoustiller l’épouse de William.

Vers une heure, j’ai demandé à William de nous raccompagner à notre voiture. Il a abandonné un moment son épouse dans ce bar.

Arrivés au parking, je lui ai fait comprendre que Livia l’appréciait. Il nous a dit au revoir en embrassant enfin Livia comme un vrai libertin sait le faire…

Nous aurions volontiers accepté quelques initiatives supplémentaires de William.

PS.: Prénoms d’emprunt

dimanche 31 mai 2015

Comme un jeune homme

Les mots et les regards pour faire connaissance, devant un verre, un plat, un désert… Eveiller le désir avec élégance… J’ai aimé plonger dans son regard. Sans un mot le désir mutuel s’éveillait : « Si vous souhaitez nous suivre, vous serez les bienvenu à la maison. » Les inviter devenait une évidence. Au sortir du restaurant, confiants, ne pas les presser, à distance laisser le couple prendre sa décision.

Quelques kilomètres à parcourir. Mon épouse : « Il nous suivent ? » Enfin arrivé, reprendre le dialogue dans un cadre intimiste.

Se rapprocher, quelques caresses, enfin flirter longuement… Mes doigts, ma langue, parcourent la géographie intime de la belle. Mon épouse reçoit le même hommage de son partenaire. Notre invitée prodigue des douceurs à ma virilité. Mes bourses roulent doucement au creux de sa main. Les vocalises de ces dames s’élèvent à l’unisson…

Je me laisse prendre. Ce choeur féminin brise mes résistances. Comme un jeune homme je me laisse aller. Elles rient de mon désarroi … Vite un peu d’eau pétillante…

Notre invitée me prodigue des soins prompt à me tirer de ma langueur. A l’oreille, je lui propose de me recevoir très intimement. Elle acquiesce avec chaleur. Ma présence trouble son joli regard. Unis, nous nous embrassons longuement.

Soucieux d’offrir un joli spectacle à nos conjoints, la belle devient quadrupède. Notre union attend la perfection. « Creuse les reins. » Je regarde mon épouse, je suis heureux.