Lui distingué, tenue d’été, elle élégante, petite robe de satin. Ici je donne à chacun un nom d’artiste… Julie et Jim. Au premier abord, un nom d’artiste en désir… qui se muera avec l’avancement de la soirée en artiste ès plaisir… intenses.
Je leur indique le chemin vers la piscine et suit la petite robe de satin qui ondule, ondule… Nous resterons sages pendant le repas, au vu et au su de tout le voisinage… Les regards se croisent et le désir monte. La liberté va bien aux seins de Julie… De vrais seins de femme, un peu lourd, généreux. Après une salade de fruit rafraichissante, nous reportons le bain à plus tard.
Direction l’intérieur. Que choisir le salon ou la chambre ? Une valse hésitation dans le hall où l’on jauge le regard de l’autre, Je propose la chambre. Lumière tamisée, caresses sages, chacun avec la chacune de l’autre… Premiers baisers, langoureux, pas ces petits frétillements de la pointe de la langue qu’adoptent de nombreux libertins. Des baisers profonds, appuyés, lents mouillés qui présagent d’autres dégustations. Les tétons durcissent sous la succion, les cuisses s’écartent sous d’intimes caresses. Clitoris et verges deviennent turgescents et les minous détrempés.
Honneur au dames, elles se laissent volontiers lécher, aspirer, fouiller… La source de Julie est abondante. Nous nous embrassons à nouveau… Elle s’allonge sur moi et m’ordonne « branle moi ! » Je m’exécute. Un puis deux, elle en redemande, trois enfin quatre doigts dans son vagin… « Branle moi ». Je m’applique sur la face interne de son vagin. Un chaud, abondant liquide coule sur ma cuisse. Elle jouit, hurle comme une louve.
Ma chérie jouit intensément dans les bras de Jim. J’aime l’entendre, ne pas savoir ce qu’il font, seulement profiter de ses vocalises… la savoir libre du choix des armes du plaisir avec cet homme, libre de s’aventurer sur des contrées, où elle n’ose m’inviter…
Julie et moi choisissons ce moment pour nous déguster mutuellement. Elle a besoin de ma verge tout autant que j’ai besoin de sa vulve. Mes doigts s’aventurent. Elle répond à mon approche discrète en positionnant son oeillet sur mon index. Je commence une exploration. Elle acquiesce en accélérant sa succion.
Le moment de nous donner l’un à l’autre est venu. Lentement, elle me reçoit très intimement, je la regarde et l’invite à garder un moment les yeux ouverts, son regard se trouble. Nous nous embrassons longuement. Puis le mot magique vient… « levrette ». Notre humanité retrouve ses racines animale. Dans un instant elle sera ma femelle. Elle se met à genou, plante son visage dans l’oreiller, creuse les reins. Je lâche « tu es superbe ainsi ! » Elle me réplique « je sais ce qu’aime les hommes… »
Je la prends longuement, mes bourses battent la chamade contre son clitoris. De mes deux mains, j’écarte ses hémisphères charnues, joint mes pouces. Il viennent en appui sur sa petite porte. Elle casse les reins, je la pénètre, me couche sur elle, lui susurre à l’oreille : « tu as envie ? » Comme une évidence elle me souffle « j’adore ». Ma verge, encore mouillée des émois de Julie la pénètre doucement l’huis fripé de Julie. Elle aime, jouit longuement. Nous avons chaud et soif.
Je propose un bain de minuit dans l’obscurité. Les corps brulants se délassent, de touchent un peu dans l’eau. L’eau pétillante rafraichit les gosiers… La fraicheur nous gagne, nous retrouvons notre couche commune.
La rencontre change de nature. Jim sollicite une fellation de nos compagnes. Elle rivalisent d’attention pour son membre. Vient mon tour, le bonheur d’être ainsi honoré. Chacun revient longuement aux plaisirs de la première « mi-temps ». Julie m’invite à nouveau au coeur de sa rosace, Jim désire sa vulve. Il pénètre un peu vite et m’éjecte sous la contraction de Julie. Nous rions.
Nous dépassons les quatre heures de plaisir les corps sont fatigués. Afin de prendre congé je reprends Julie en levrette. Elle accepte ma jouissance. Jim offre la sienne sur la poitrine de ma chérie. Chacun se rhabille, je raccompagne sur le parking. La petite robe de satin de Julie ondule, ondule…